[En construction :
bientôt ici nous allons superbement développer ce point du manifeste
pour vous permettre de le comprendre encore mieux !]
Le modèle dominant ne devrait pas être plus légitime que d’autres à adopter les outils les plus efficaces en la matière ; s’ils ont permis son essor, c’est l’utilisation qui en a été faite qui est à critiquer et non les outils en eux-mêmes. Si les voix décroissantes veulent se faire entendre elles ont la responsabilité de s’en donner les moyens. Les modes de communication souvent estimés inférieurs (image, réseaux, formes courtes) ne devraient pas être sous-estimés. Leur portée peut être grande et complémentaire, pouvant exprimer des choses différentes et toucher d’autres publics. Une vigilance doit être exercée concernant toutes formes de communication : exprimer de la complexité simplement n’est pas facile et n’est donc pas fréquemment réussi, d’une part, et de l’autre, une forme qui semble convaincante cache souvent un fond qui l’est moins, ce qui, en matière d’écologie(s), s’apparente aux fausses pistes et au “greenwashing”.